Il vous est peut-être encore possible de convaincre l'ensemble de la représentation nationale – ce serait un immense événement – de voter avec vous une mesure qui serait un progrès mais, voyez-vous, nous n'en acceptons pas le principe. Nous n'avons qu'un mot d'ordre : non pas tenter d'améliorer ce texte à la marger, mais en exiger le retrait définitif, à la suite des cheminots de ce pays, des avocats et de tous ceux qui sont mobilisés depuis plus de soixante-dix jours.