Je termine, monsieur le président. Je vous connais et je trouve que vous êtes généralement un bon président, je le dis sans aucune arrière-pensée. Je fais simplement observer que, quand j'interviens, mes collègues se mettent à hurler et font des gestes indécents. J'aimerais, comme tout le monde, pouvoir parler sans que l'on se mette à hurler.
Vous recourrez peut-être au 49. 3, mais vous en porterez la responsabilité. Vous ne nous coincerez pas.