Monsieur le rapporteur général et monsieur le secrétaire d'État, vous prétendez que nos chiffres sont erronés. Décidément, nous ne parvenons pas à vous convaincre – depuis plusieurs jours, en effet, nous avons du mal à nous convaincre mutuellement – mais je ne désespère jamais. Rien ne m'empêche de croire que d'ici quelques minutes, vous allez vous dire : « Effectivement, Caroline a raison. »