Ce n'est d'ailleurs pas le premier texte allant en ce sens, puisque la loi PACTE, qui a été adoptée précédemment, encourage déjà fiscalement le recours à des produits d'épargne par capitalisation.
Il ne s'agit pas de fustiger ou d'accuser quiconque dans cet hémicycle, ni même Jacques Maire, notre collègue ayant parfaitement le droit d'être actionnaire de toute entreprise qu'il souhaite, mais de constater qu'en l'espèce, l'établissement dans lequel il possède des actions et donc des intérêts – je répète, pour que cela soit bien compris, que c'est son droit le plus complet – a intérêt à ce que la réforme des retraites dont nous discutons soit adoptée.