Je voulais abonder dans votre sens, monsieur le président, et demander que les débats s'apaisent. Depuis un quart d'heure, j'avais vraiment la sensation d'être dans une cour d'école. Toutes ces réactions du genre « c'est pas moi, c'est lui ! » sont vraiment du niveau primaire. J'ai honte en pensant aux élèves qui nous regardent aujourd'hui dans les tribunes de cet hémicycle. Je demande une suspension de séance de cinq minutes pour que tout le monde reprenne ses esprits.