Je remercie le rapporteur pour ses excuses, que j'accepte bien évidemment. Nous passons de longues heures dans cet hémicycle et nos propos dépassent parfois nos pensées, c'est compréhensible.
Nous, membres du groupe Les Républicains, avons fait le choix de ne pas prolonger les débats inutilement. Nous n'intervenons donc pas sur chacun des amendements, à tout bout de champ. C'est sans doute pourquoi le rapporteur n'aura pas remarqué ma présence dans l'hémicycle. J'ai pourtant siégé sans interruption à partir de dimanche en fin d'après-midi. Vous conviendrez qu'il est particulièrement pénible d'être accusé d'absentéisme dans ces conditions – mais il est vrai que nous ne nous connaissons pas très bien, monsieur le rapporteur, car nous ne travaillons pas sur les mêmes sujets à l'Assemblée.
Quoi qu'il en soit, je souhaite que nos débats se poursuivent en toute sérénité et qu'ils permettent de faire avancer l'examen du projet de loi sur le fond.