J'ai bien compris votre logique, chers collègues. Depuis le début de l'examen du projet de loi, vous vous opposez à l'intégration des salariés, des assimilés, des libéraux, des autonomes et de tous les régimes spéciaux rencontrés au fil des articles dans le système universel de retraite. Ce n'est pas tant le mot « universel » que vous refusez, c'est le principe même de l'universalité.