Supprimer l'alinéa 5 revient à supprimer le coeur de notre système. J'y suis donc défavorable.
Vous avez raison de dire qu'une crise mondiale peut secouer le système. Dans ce cas, un système par répartition – dans lequel les cotisations d'une année alimentent les pensions versées la même année – est beaucoup plus résilient qu'un système par capitalisation.