Les sommes issues des enveloppes de la DETR et de la DSIL qui seront consacrées aux maisons France Services ne seront plus disponibles pour d'autres projets d'investissement. Elles sont donc perdues pour nos collectivités, dans une certaine mesure.
Suite au redécoupage de cantons, certains atteignent une taille considérable – l'un des cantons de ma circonscription fait presque 1 500 kilomètres carrés. Ne pourrait-on imaginer que les critères d'implantation des maisons France Services se fondent sur les temps de trajet ou les distances, plutôt que d'attribuer un nombre par canton ? La question réelle est celle de l'éloignement des services publics.