Madame Dubié, je connais, pour vous avoir côtoyée pendant de nombreuses semaines en commission des affaires sociales de l'Assemblée, votre engagement au service de l'hôpital public. Aussi vos interrogations et vos attentes ne me surprennent-elles pas. Je partage d'ailleurs votre souhait de soutenir l'hôpital – que nous aimons tous ici, sur chacun des bancs – , notamment en période de crise épidémique mais au-delà mêmes de ces circonstances, pour lui permettre de répondre pleinement à ses missions.
Vous me demandez quelles sont les nouvelles mesures. Permettez-moi d'abord de saluer celles qui ont déjà été prises et celle qui viennent d'être annoncées, grâce au travail de ma prédécesseure au poste de ministre des solidarités et de la santé, Agnès Buzyn :