Parallèlement, un accord a été conclu entre les Russes et les Turcs en vue de préserver un cessez-le-feu minimal dans la zone d'Idlib. Il n'est pas respecté, ce qui se traduit par une grave conflictualité entre la Turquie et la Russie. Nous voulons que l'on revienne à l'accord de Sotchi, pour que le cessez-le-feu soit respecté.
Concernant la Turquie, nous considérons – je l'ai dit à deux reprises tout à l'heure – que le fait d'utiliser les réfugiés comme des otages pour faire pression sur l'Europe est parfaitement inacceptable, et nous le refusons.