C'était il y a quatre ans, jour pour jour, le 3 mars 2016.
Pour protéger nos enfants, pour éviter à de nouvelles familles de connaître un tel drame, il faut agir.
Agir, c'est d'abord prévenir, en parler dans les établissements scolaires.
Agir, c'est aussi former les personnels, aussi bien les enseignants que les agents des collectivités qui travaillent dans les établissements.
Agir, ce serait enfin s'interroger sur l'utilisation des réseaux sociaux par les plus jeunes.
Monsieur le Premier ministre, l'école ne doit-elle pas demeurer le lieu de l'épanouissement de nos enfants, et non un lieu qui les expose à la violence ?