Quelques semaines plus tard, votre ministre des solidarités et de la santé indiquait partager la conviction de Michel Rocard, selon laquelle « il n'y a pas de tâche plus fondamentale pour la société française que celle qui consiste à traiter de manière exemplaire la question des retraites ».
Revendiquer l'héritage de Michel Rocard suppose de lui être fidèle, sinon ce n'est qu'une récupération malhonnête. Je crains que vous ne soyez tombé dans cet écueil.