Des parlementaires ont subi des attaques jusque dans leur domicile personnel. Les menaces de mort, les insultes sexistes, racistes et antisémites, formulées par courriel ou sur les réseaux sociaux sont quotidiennes, et ce qui est grave, chers collègues, c'est que nous sommes en train de nous y habituer.
À part Robert Badinter, plus personne ou presque ne s'indigne lorsque l'effigie de la tête du Président de la République est mise au bout d'une pique lors d'une manifestation.