Cette promesse a enfin le visage apaisé de nos aînés, qui ont acquis des droits, au prix d'une vie de labeur, ou celui, reconnaissant, de tous les Français que la solidarité nationale a protégés des accidents de la vie.
Cette promesse n'a pas, monsieur le Premier ministre, le visage d'une réforme aux contours flous et au contenu trop nébuleux, en dépit des avancées que contient le texte sur lequel vous engagez la responsabilité du Gouvernement.
Nous sommes face à un immense gâchis, et tous les syndicats le constatent, y compris la CFDT – dont on connaît l'esprit de responsabilité.