Vous ne pouvez pas croire qu'un pays entier, qui aime, plus que tout autre, vanter les chemins escarpés qu'il emprunte comme la marque de sa singularité, accepte d'être mis en coupe réglée du jour au lendemain.
Si vous ne voulez pas nous écouter, écoutez les parlementaires de votre majorité, qui se sont engagés parce qu'ils pensaient qu'ils allaient faire de la politique autrement.