À la liberté de disposer de soi, vous opposez la liberté de continuer à travailler, comme si c'était un choix quand un malus viendrait vous priver d'une part substantielle de votre revenu !
Voyez-vous, dans ce contexte, je me réjouis de l'immense école civique qu'aura été cette lutte, qui dure depuis le 5 décembre et qui va maintenant se poursuivre dans une guérilla populaire et parlementaire, une guérilla qui durera aussi longtemps que vous vous obstinerez…