On nous a dit que cette situation serait très désavantageuse. Or, madame Rabault, vous connaissez parfaitement la vérité : ceux qui, dans le système actuel, que vous avez contribué à maintenir – en allongeant la durée de cotisation et en préservant la décote – doivent travailler jusqu'à 67 ans pour partir à la retraite sans décote sont très souvent des femmes dans des situations de très grande fragilité.