Monsieur le secrétaire d'État, vous n'avez toujours pas répondu à la question de M. Vallaud sur le taux d'intérêt public. Si la dette peut représenter un risque, elle est également un outil d'amortissement des aléas économiques d'une année sur l'autre – nous sommes confrontés à l'heure actuelle à un nouvel aléa économique. Si 3 % représentent quelque 10 milliards d'euros, une variation de 1 % du taux équivaut à 100 millions : ce n'est pas rien. Pourriez-vous nous répondre sur la façon dont vous envisagez de gérer l'évolution de la dette dans le cadre d'une évolution du taux ?