Reprenons : vous prétendez garantir la hausse des retraites. Mais non : vous garantissez que celles-ci augmenteront a minima à hauteur de l'inflation – autrement dit, les retraités ne perdront pas de pouvoir d'achat. On pourrait vous dire merci, mais cet horizon n'est pas non plus sensationnel.
S'il y a une distorsion entre valeur d'acquisition et valeur de service, compte tenu de l'absence d'encadrement du coefficient d'ajustement et d'un budget contraint dans lequel le nombre de retraités ne fera qu'augmenter, le résultat ne peut être qu'un appauvrissement des retraités futurs.