Nous allons faire confiance aux partenaires sociaux. Le projet de loi ordinaire leur a confié tous les leviers pour atteindre l'équilibre financier. En tant que législateurs, nous aurons la responsabilité de tenir compte des indications qu'ils nous donneront et de les traduire dans la loi de financement de la sécurité sociale, pas uniquement celles de cette année ou de l'année prochaine, mais de toutes celles qui suivront. Je suis suffisamment humble pour reconnaître que je n'ai pas la clef de tous les budgets des trente prochaines années. L'avis est défavorable.