Paix sur vos bancs ! Paix, les brebis ! Je parle de coups verbaux. Vous ne connaissez que les coups physiques, ce qui ne m'étonne pas : vous n'êtes pas civilisés. Au demeurant, vous venez encore d'enregistrer une nouvelle défection.
Vous vivez, j'y reviens, un moment de déroute morale. Vous n'êtes même pas capables de défendre votre réforme. Vous n'avez su le faire ni avant ni pendant le débat et, j'en suis certain, vous ne saurez pas davantage le faire après.