À l'époque, cette décision relevait du bureau de l'Assemblée nationale. Nous avions formulé une première demande auprès du président Accoyer, que nous avons renouvelée en 2016, et avons essuyé un refus lors de chacune de ces deux législatures. J'ai souhaité prendre la parole sur cet article afin de confirmer notre soutien à cette proposition. Il n'existe en effet aucune raison pour que les députés et les sénateurs n'intègrent le système universel de retraite par points.