Carole Bureau-Bonnard a souligné que l'aventure pouvait se trouver au bout de la rue. Les séjours sans hébergement peuvent aussi offrir cette ouverture, cette émancipation et cette vie collective.
Si donc l'on a le choix du type de vacances, encore faut-il pouvoir financer les séjours. Gaël Le Bohec a souligné que la hausse du pouvoir d'achat facilite ce choix. Plusieurs aides existent aussi. Outre votre proposition d'alimenter un fonds national par une taxe, nous devons discuter d'autres solutions – mécénat ou dons en nature de la part des hôteliers.
Quant au choix que vous avez évoqué, encore faut-il pouvoir se repérer dans des offres multiples. L'idée d'un guichet unique reste aussi à explorer. Comment trouver le bon équilibre entre un choix collectif d'une société qui veut des vacances pour tous, sans imposer un seul modèle ?