Le véritable objectif est celui de la solidarité et de la redistribution, et le dispositif de la cantine à 1 euro, entre autres, y participe – les collectivités peuvent toujours faire le choix d'un tarif de la première tranche entre 0 et 1 euro. D'aucuns ne voient dans ce dispositif que de la communication, mais 8 000 enfants bénéficiaires, et probablement plus après son élargissement, et 200 000 petits-déjeuners gratuits servis, je n'appelle pas cela de la communication. Il est nécessaire que les communes mettent en place une progressivité des tranches.