L'amendement vise à supprimer les pourcentages proposés pour les produits bio et de qualité, dont on a vu qu'ils étaient irréalistes. Il faut commencer par franchir le cap des 20 %, ce qui est déjà un enjeu considérable, en termes tant de surfaces cultivées que de circuits d'approvisionnement pour certaines collectivités. Nous proposons donc d'en rester aux objectifs déjà très ambitieux de la loi EGALIM. Pour ce faire, nous demandons la suppression du deuxième alinéa de l'article 4.
Contre l'avis de la rapporteure, la commission adopte l'amendement.