L'ISF est une véritable question, et on a le droit d'avoir des points de vue différents. Je discute souvent, dans ma circonscription, de la manière dont nous avons fait évoluer l'ISF. Fondamentalement, je suis gêné que l'on taxe des gens qui ont investi leur capital dans des start-up, n'ont parfois rien gagné et ont même pris un risque important, car la moitié d'entre elles disparaît. Nous n'avons pas la même vision, madame Autain. Ce n'est pas grave : chacun de nous défend la sienne.