Je suis sensible à la question des liens entre la ville et les territoires. Je suis une élue de Haute-Vienne, territoire d'élevage, or vous parlez essentiellement du maraîchage. Je comprends bien l'importance des circuits courts mais n'y a-t-il pas un peu de « bobo attitude » dans tout cela ? Comment étendre aux quartiers défavorisés ces nouvelles formes de consommation alimentaire quand « le kebab » reste le nec plus ultra en termes de consommation ? Comment étendre ces nouveaux types de consommation au-delà des personnes qui y sont naturellement sensibles ?