Peut-être pourrions-nous prendre quelques minutes pour trouver un accord, sinon tout le monde va demander la parole dans un débat qui n'est pas intéressant ni à la hauteur de l'enjeu. Nous sommes d'accord sur la nécessité d'un suivi. Le rapporteur général et le président de la commission des finances ont bien posé les termes du sujet : prenons maintenant deux minutes pour nous entendre, puis passons à autre chose.