C'était nouveau et c'était brutal. Aujourd'hui, ce n'est plus le cas car on sait de quoi il s'agit ; les acteurs économiques qui contractualisent le font en connaissance des nouvelles conditions. Je pense donc qu'il serait bon d'utiliser le fonds de solidarité de façon tout à fait particulière pour ces premières semaines marquées par des arrêtés préfectoraux constatant une impossibilité de poursuivre des activités économiques. On ne peut certes pas le faire à la légère, mais un rapport pourrait essayer de tracer les contours des secteurs concernés dans ces départements, qui pourraient bénéficier d'une indemnisation.