Vous êtes contents ; nous aussi : on en a bien besoin !
Il s'agit cette fois d'évaluer le passage de la régionalisation de l'apprentissage à sa gestion nationale, qui impliquerait la disparition du Fonds national pour le développement et la modernisation de l'apprentissage, dont les crédits seraient attribués à l'éducation nationale.
La nationalisation de la gestion de cet ensemble de mécanismes menant à l'acquisition de savoir-faire, de savoirs et de connaissances contribuerait à l'efficacité de l'apprentissage. Elle permettrait de lutter contre les inégalités territoriales afin de rendre plus juste l'accès à celui-ci.
Tant que l'hypothèse d'une telle transformation n'aura pas fait l'objet d'un rapport chiffré au Parlement, son efficience ne sera pas établie. Nous proposons donc que le Gouvernement remette au Parlement un rapport d'information sur le sujet dans un délai de douze mois à compter de la promulgation de la présente loi.