Cet amendement soulève une vraie question et j'ai été moi-même interpellé par des employés des pompes funèbres, inquiets à l'aube de cette crise sanitaire du petit nombre de matériels de protection dont ils disposent pour exercer leur mission, alors qu'ils sont eux aussi en première ligne. Les pompes funèbres sont démunies face à cette situation et attendent des réponses du Gouvernement et des services de l'État, car il n'y a pas de dérogation législative dans ce domaine. Il est important de réfléchir à des endroits susceptibles d'accueillir dignement et décemment les défunts.