La commission ne s'est pas exprimée sur cet amendement.
Vous le savez, les entreprises d'outre-mer sont généralement de petites entreprises fragiles comptant moins de cinq salariés. Il ne serait donc pas raisonnable de leur retirer ces 55 millions d'aides, dans la mesure où il s'agit souvent de prêts à taux zéro qui leur permettent de cofinancer leurs investissements et de créer de l'activité et de l'emploi, notamment au bénéfice de la jeunesse.
À titre personnel, je donne donc un avis défavorable à cet amendement.