Monsieur Coquerel, je vais essayer de vous répondre le plus factuellement possible ; je vous invite à essayer d'être aussi factuel dans vos questions, qui recèlent, pardonnez-moi de le signaler, beaucoup d'erreurs.
Tout d'abord, je ne menace personne de sanctions – ou alors il faut que vous m'expliquiez qui je menace, et comment. Dire que je profère des menaces est une accusation calomnieuse : je ne menace personne. Vous faites un signe de la tête : nous sommes donc bien d'accord que cette première assertion était fausse.