Je soutiens cet amendement. Il est vrai que la loi EROM ne résout pas tout, comme d'ailleurs la loi Lurel de lutte contre la vie chère. Les problèmes demeurent entiers. J'invite les collègues à réfléchir sur ce phénomène de la vie chère, de prix excessifs, qui ne doit pas s'analyser en termes de retard de développement, mais bel et bien en termes de blocage de développement. Il ne s'agit pas seulement de viser une convergence : il faut viser une justice qui doit imposer aux uns et aux autres de prélever des marges moins excessives, chaque fois que c'est possible, sur le dos de nos compatriotes.