Monsieur le député, je vous mets en garde contre les visions parisiennes qui tendraient à généraliser les problématiques. En effet, si l'on compare la situation en Guyane et dans les pays limitrophes, elle a été, pour ce qui est de la première, contenue : on peut en être fier. C'est souvent d'ailleurs grâce aux populations locales et aux élus du territoire que de tels résultats sont obtenus.
Ce débat mérite effectivement d'avoir lieu. Il a et aura lieu sur place. Par conséquent, je vous demande de bien vouloir retirer votre amendement. À défaut, l'avis du Gouvernement serait défavorable.