L'amendement vise à appeler l'attention du Gouvernement sur la provision pour aléas, dont il ramènerait les moyens à leur niveau de 2019, les faisant ainsi passer de 174,8 à 200 millions d'euros. Le ministre de l'agriculture et de l'alimentation aurait ensuite toute latitude, sous le contrôle du Parlement, d'affecter ces crédits aux aides les plus opportunes : sous forme d'aides à la relance gérées par l'Agence de services et de paiement et par l'Office du développement agricole et rural de Corse, sous forme de garanties bancaires avec effet multiplicateur ou encore sous forme de subventions aux acteurs de l'animation territoriale.
Compte tenu de l'avis précédemment exprimé par le rapporteur général, je retire l'amendement.