Pourquoi ne pas inscrire ces crédits au sein de la nouvelle mission « Plan d'urgence face à la crise sanitaire », où devraient être réunis tous les programmes concernant cette dernière, plutôt que dans le programme 134, « Développement des entreprises et régulations » ? Cette solution, beaucoup plus simple, permettrait de mieux suivre l'ensemble des crédits ouverts dans le cadre de la crise.