Il s'agit de tirer les conséquences de notre action en matière d'indemnisation de l'activité partielle, financée, pour un tiers, par l'Unédic, soit 8 milliards sur les 24 que nous prévoyons, 16 milliards étant pris en charge par l'État.
Comme les indemnités journalières, les indemnités versées pour l'activité partielle ne contribuent pas au financement de l'Unédic. Nous vous proposons donc de relever le plafond d'emprunt de l'Unédic de 2 à 10 milliards d'euros. Le texte que nous avons présenté initialement proposait un relèvement moindre, mais les prévisions de l'Unédic ont été mises à jour le 14 avril, ce qui nous a conduits à vous proposer ce relèvement plus important.