… et attroupements tolérés dans certains quartiers selon des instructions données par votre gouvernement, intransigeance ailleurs : un gouvernement faible avec les forts et fort avec les faibles, voilà ce qu'ont ressenti beaucoup de Français. Nous vous mettons en garde contre ces menaces ; or vous n'en avez pas dit un seul mot, monsieur le Premier ministre.
Nous vous demandons de rouvrir les tribunaux, de rouvrir les centres de rétention administrative pour accueillir les clandestins les plus dangereux et d'arrêter la libération de détenus, dont certains sont radicalisés.