Nos réseaux ont subi ces trois dernières années d'importantes réformes pour passer de la diplomatie du « chacun son tour » à celle du « faire ensemble ». Si nous ne voulons pas saper les efforts, il faut donner dès à présent un cadre et des priorités diplomatiques pour l'après-crise. Or les réponses tiennent souvent du saupoudrage. Nous avons décidé de créer un groupe de contact de crise afin que les mesures de soutien « cousues main » soient coordonnées et soutenues par la représentation nationale.