Les hôteliers et les restaurateurs multiplient les initiatives en faveur des sans-abri et des personnels soignants. Confinés, ils continuent néanmoins d'acquitter leurs cotisations d'assurance perte d'exploitation.
Certes, les assureurs s'engagent à contribuer à hauteur de 200 millions au fonds de solidarité en faveur des TPE et des indépendants mais sont-ils suffisamment solidaires dans la mesure où, la notion de catastrophe sanitaire n'ayant pas d'existence juridique, les professionnels du tourisme ne peuvent pas bénéficier des garanties ?
L'ordonnance sur les conditions financières de résolution des voyages a été publiée. Les assurances seront-elles à la hauteur des besoins du tourisme ?