Si, grâce à votre action, les travailleurs frontaliers d'Alsace peuvent désormais se rendre en Allemagne, d'autres drames du quotidien se jouent à la frontière. En particulier, des mères sont empêchées d'aller voir leurs enfants en garde partagée en Allemagne ou des enfants ne sont pas autorisés à venir en France. J'ai saisi le conseiller diplomatique de la région Grand Est de la question.
Le comité de coopération transfrontalière constitue un outil indispensable car très opérationnel. La crise a mis en suspens les actions concrètes qu'il avait lancées. Peut-il néanmoins jouer un rôle pendant la période de crise et à la sortie ?