Ce sujet est vraiment délicat et, au sein de notre groupe, nous n'avons pas encore surmonté nos différences d'appréciation de la HADOPI. À titre personnel, je pense qu'il faut tenir compte de la responsabilité individuelle de chacun : on ne peut pas se contenter de déléguer aux pouvoirs publics et aux sociétés. Mais il est également nécessaire de protéger les libertés individuelles : nous devons encore réfléchir à cette question.