L'argument de la couverture numérique faible qui obligerait à accéder aux oeuvres par le pair à pair, me paraît très éloigné de la réalité, cher collègue Raphaël Gérard : je ne suis pas sûr que cela corresponde au profil type du pirate. Par ailleurs, compte tenu de la vitesse à laquelle on déploie les réseaux, ce n'est pas là que devrait se situer l'inquiétude.