Je me réjouis de l'adoption de cet amendement, qui précise la nature des divertissements. Si j'étais un dirigeant de l'audiovisuel public attentif aux travaux du Parlement, je m'interrogerais sur le nombre d'amendements présentés à cet article, afin de repréciser les missions de service public.
Trop souvent, nous avons l'impression que les médias publics, notamment télévisés, font la même chose que les médias privés. Il importe que nous réfléchissions à la nature des services publics et, du moins, que l'audiovisuel public ne continue pas, comme aujourd'hui, à payer très cher ses dirigeants et ses animateurs, car cela donne vraiment l'impression que public et privé fabriquent la même soupe !