Je comprends bien la préoccupation de Maina Sage.
La rapporteure et Raphaël Gérard ont tout à fait raison. La formulation « langues de France » est plus précise et permet d'englober d'autres langues, outre les langues régionales. Le Conseil d'État nous a d'ailleurs demandé cette spécification.
Je vous propose que nous échangions d'ici à la séance publique afin de vous rassurer : il n'est pas question de minorer l'importance des langues régionales, bien au contraire.