Comme pour l'outre-mer, je ne suis pas favorable à ce que l'on spécifie l'appartenance à l'industrie audiovisuelle ou cinématographique. Le Parlement, quand il aura à nommer des personnalités qualifiées, pourra le cas échéant équilibrer, mais il faut garder un peu de souplesse dans la désignation des douze administrateurs : si c'est figé, on risque de perdre cette modernité dans la gouvernance de la holding. Demande de retrait.