Monsieur le président, je ne vous ai pas spécialement remis en cause, mais avouez qu'il est très difficile de débattre : nous sommes peu à opposer une vision différente et la plupart des députés retirent leur amendement avant que l'on puisse en discuter !
Je ne vous ai pas dit que cela me gênait que l'État actionnaire dise ce qu'il a à dire, d'autant que l'indépendance n'est jamais absolue. Mais, comme l'Union européenne de radio-télévision elle-même l'a très bien résumé, il y a l'indépendance et la perception de l'indépendance. Or ce n'est pas le sentiment que donne le dispositif que vous proposez.