Vous répondez qu'il ne faut pas s'inquiéter, mais je ne m'inquiète pas : je dénonce la situation concrète que vous avez mise en place. Je n'accepte pas cette baisse des moyens. Ne me demandez donc pas de retirer mon amendement. Il y a une forte indignation, et même une mobilisation au sein de la grande maison qu'est l'audiovisuel public. Il faut en tenir compte. Vous pensez – assumez-le – que l'on fera aussi bien, voire mieux, avec moins de moyens, mais personne n'y croit. Je sais que nous sommes tous dans des jeux sémantiques, mais le fait est que lorsqu'on donne moins de moyens au service public, il fait moins ; il ne peut pas en être autrement.